Ce matin je suis en avance. Je m’arrêtes dans la librairie de ma gare. En fait je ne devrais pas m’arrêter. A part le rayon politique, pratiquement tous les rayons me tente. Et je sais que je ne pourrais jamais tout lire. J’ai du mal avec cette idée même si je sais bien que c’est absurde.

Ce serait bien que je commence déjà par lire tous mes livres au cabinet et à la maison…